Le « plan route », est insuffisant par rapport à l’ampleur du travail à réaliser. Dès lors comment payer l’accroissement de capacité du réseau routier alors même que l’entretien n’est pas assuré ?

Des centaines de millions d’euros sont investis dans des nouvelles infrastructures routières alors qu’elles ne le sont pas dans des infrastructures de transports publics ou de mobilité plus durable. Le budget est serré, il faut dès lors faire des choix. Les bons, ceux de l’avenir. Ceux qui nous garantiront une mobilité durable, accessible à tous.

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