Il s’avère qu’une part de l’infrastructure touristique, plusieurs dizaines de kilomètres, a été touchée. Des caillebotis de promenade à travers la réserve ne sont plus accessibles. Un tiers de la réserve, en fait, ne serait plus accessible aux touristes, probablement pour de longs mois. En effet, pour traverser cette zone fangeuse, il s’agit d’aller de caillebotis en caillebotis. Une grosse partie du réseau est détruite.

Ma question du 17/05/2010 au Ministre Furlan